LA SURVIE DES LANGUES MINORITAIRES

LA SURVIE DES LANGUES MINORITAIRES

L’explication sociolinguistique semble impliquer une expansion de l’indoeuropéen vers un territoire qui était largement de langue non indo européenne dans les périodes antérieures, par adoption pacifique plus que par la conquête ou par substitution de population. Cela impliquerait aussi en des temps anciens, un apprentissage de l’indoeuropéen de la part des locuteurs des langues ibérique et basque dans une région plus large, imprimant ainsi des tournures des langues basque et ibérique à l’indoeuropéen. De cette manière l’indoeuropéen se transforma en langue celte, dans laquelle nous trouverons des traces dans les périodes préromaines et dans les langues celtes qui survivent encore. Une des raisons de notre intérêt en pays de Galles pour le pays Basque est naturellement qu’il ne s’agit pas que de l’origine des langues celtes et des contacts préhistoriques possibles avec la forme antique de la langue basque. L’évolution postérieur de ces deux langues est similaire en beaucoup d’aspect et nous pouvons apprendre quelque chose en étudiant comment survécu la langue basque tout le long de l’occupation romaine. Ce que nous tenons là, c’est l’histoire de la résistance par la survivance culturelle. Nous pouvons apprendre de l’expérience commune de ces périodes et bien sur des temps modernes postérieurs. Ces questions comprennent la politique linguistique, l’enseignement, la manière dont les langues minoritaires tracent leur chemin, trouvent leurs propres traditions, leur futur en Europe et dans l’actuel monde moderne. La tomographie, les statistiques, la politique linguistique, la politique de l’éducation, etc. ; sont assez similaires au Pays Basque et au Pays de Galles. Ce sont des pays de taille comparable en surface et en population, qui ont le même nombre d’étudiants, le même nombre de personnes qui apprennent et parlent une plus vieille langue, alors il y a beaucoup à gagner dans des échanges culturels entre le Pays de Galles et le Pays Basque.